Entre les averses, les rayons de soleil réchauffent un petit tas de bois. Deux Lézards de muraille pointent le bout de leurs nez pour se réchauffer. Ils font pitiés, tout gris de terre et d’une grande maigreur.

Cet hiver a été doux, alors ils ont mal dormi et pas mangé, les réserves de graisse ont bien fondu.